Foire aux questions
Pourquoi maintenant ?
Ce projet, je l'ai en tête depuis 8 ans, mais je n'ai jamais pris le temps et surtout eu le courage de le réaliser.
J'ai décidé de le faire cette année à la suite d'un bilan de compétences avec la société EnQuête 2 Soi.
J'ai fait ce bilan avec l'objectif principal de trouver ma voie pour être en paix avec moi-même et sortir d'une situation professionnelle qui n'avait plus de sens pour moi.
Derrière cette aventure, il y a beaucoup d'incertitude, d’inconfort et de vulnérabilité, mais il y a surtout une volonté et une joie si forte que je sais que je suis sur la bonne voie.
Pourquoi d'avril à juillet ?
D'abord parce que cette période est riche en commémorations : 24 avril, 8 mai, 9 mai, 27 mai, 18 juin et 14 juillet.
Ensuite, le climat est plutôt favorable aux cyclistes : les journées sont longues et les températures plus clémentes.
Enfin, parce qu'il fallait que les établissements scolaires soient ouverts.
Pourquoi Auschwitz ?
C'est le lieu qui a marqué ma mémoire d'élève. Il reste gravé dans mon esprit encore aujourd'hui comme le lieu le plus emblématique de cette guerre.
Je suis convaincu que l'expérience physique et sensorielle d'un lieu comme Auschwitz permet à des personnes, qui comme moi n'ont pas connu la guerre, de comprendre et d'éprouver la violence de cette tragédie.
Pourquoi à vélo ?
Je ne veux pas me rendre directement sur place. Je veux que le voyage soit déjà une sorte d'hommage. Je veux prendre le temps. Pouvoir m'arrêter facilement dans les lieux que je souhaite visiter et être le plus disponible et ouvert à de nouvelles rencontres.
Le vélo c'est aussi un mode de transport écologique, bon pour la santé, économique et pratique.
Pourquoi l'Unicef ?
Pour relever ce défi sportif de 3000km à vélo, j'avais besoin d'une motivation profonde, une cause qui allait au-delà du devoir de mémoire et de ma quête personnelle.
Aussi, j'ai décidé de rouler au profit de l'Unicef, Agence des Nations Unies qui s'est donnée en 1946 la mission de protéger les droits des enfants à travers la planète.
Selon moi le devoir de mémoire est tout autant un respect du passé, qu'une responsabilité envers l'avenir. En ce sens, nous avons le devoir de protéger tous les enfants.
Et la guerre, la covid... ?
Ce sont en effet deux risques qui pèsent sur cette aventure. S'agissant de la guerre et au moment où j'écris ces mots, il n'y a pas de danger. Auschwitz et à environ 300 km de la frontière avec l'Ukraine.
Concernant la COVID, j'ai espoir que les beaux jours et la vaccination fassent baisser le nombre de cas.
Dans les deux cas, je m’adapterai et j'avancerai avec prudence, mais détermination.
Comment feras-tu pour dormir ?
Je compte sur la solidarité des personnes que je vais rencontrer. Mais dans le pire des cas j'aurai ma tente et mon duvet sur mon vélo !
Si tu veux me proposer un logement c'est avec plaisir !
Est-ce que tu le fais seul ?
Oui, mais tu peux me rejoindre pour partager quelques kilomètres ou la totalité !
Comment vas-tu revenir ?
Si ma condition physique le permet, je reviendrai en vélo. Sinon, ce sera en train.
Comment peut-on te suivre ?
Je publierai régulièrement des informations sur ce site, ainsi que sur Facebook, Instagram, Linkedin et Twitter. @laventurememorielle #laventumemorielle
Comment peut-on te soutenir ?
Pour me soutenir vous pouvez :
- Devenir partenaire de l'aventure ;
- Faire un don sur la cagnotte de l'Unicef ;
- M'inviter dans votre école ;
- M'héberger et/ou m'inviter à manger chez vous (je cuisine bien et j'ai beaucoup d'humour) ;
- Partager mon aventure autour de vous pour la faire connaître !
Et après l'aventure ?
C'est la question qu'on me pose le plus souvent. Pour faire cette aventure j'ai fait le choix de quitter mon travail, mon logement, bref de repartir à zéro. Je voulais être totalement libre et l'esprit tranquille pour penser et construire ma propre voie. D'aucuns considèrent cela comme un risque, parfois comme un caprice, pour moi c'est un soulagement, le début d'une autre vie.